L’origine du massage remonte à l’Antiquité.
De vieux manuscrits chinois évoquent le recours aux massages 3.000 ans avant J.-C.
Les Grecs et les Romains préconisaient aussi de se faire masser pour accélérer la convalescence, régénérer le corps ou soulager les douleurs après les jeux des gladiateurs.
Mais en Occident, malgré les bienfaits constatés, la pratique est longtemps restée dans l’oubli, en raison notamment de la montée du christianisme qui voyait d’un mauvais oeil toutes les démarches impliquant le toucher, le contact physique.
Avec la période que nous vivons, le toucher est mis entre parenthèses mais le besoin de souffler sur le stress et de prendre soin de soi est plus que nécessaire.
Au-delà du plaisir et de la détente qu’il procure sur le moment, en plus du sentiment de se sentir cocooné, le massage a des vertus curatives, à court et long terme, incontestées. De nombreuses études cliniques ont constaté la pertinence de certaines manoeuvres pour réduire les raideurs articulaires et les douleurs neuromusculaires chroniques, apaiser les maux de tête et les troubles digestifs, stimuler les défenses immunitaires, ainsi que la circulation sanguine et lymphatique. Une fois libéré des tensions, le corps est davantage capable de se défendre par lui-même et de mieux résister au stress qui est un véritable déclencheur, voire accélérateur de nombreuses pathologies.
Et prendre soin de soi est primordial pour mieux prendre soin des autres …